Cet document examine quatre projets hydroélectriques mis en œuvre au Laos (Nam Theun 2 et Nam Ou) et en Ouganda (Bujagali et Karuma) et décrit les effets de la réinstallation sur les communautés locales. Les effets de la réinstallation varient d’un cas à l’autre et peuvent inclure de la perte d’actifs physiques et immatériels, comme les maisons, les communautés, les terres productives, les biens et sources de revenus, les moyens de subsistance, les sites culturels, les structures, les liens et les réseaux sociaux, l’identité culturelle, et les mécanismes de solidarité.
Dans les deux pays, un projet est financé par des banques publiques internationales telles que la Banque mondiale ou la Banque européenne d’investissement en coopération avec des entreprises (Bujagali et Nam Theun 2) et l’autre projet est financé par des fonds publics chinois (Karuma et Nam Ou).
Pour accéder à la publication, veuillez cliquer ici (disponible uniquement en anglais).
Publié: Mai 2019
Organisation(s): Both ENDS
Région: L’Afrique et l’Asie
Il y a plus de 35 ans, des groupes œuvrant dans le domaine de la justice environnementale ont lancé un…